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La Bourse en direct,
Cours de Bourse CAC 40 actions obligations Or SICAV... |
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Bourse
et Economie. L'intérêt de la Bourse pour
l'investisseur épargnant
En qualité de place de marché, l'objet des
Bourses
modernes est, fondamentalement, de récolter des fonds qui
seront
affectés aux entreprises, sous forme d'actions (titres de
propriété donnant droit à un dividende
ou
fraction du bénéfice annuel) et d'obligations
(titre
représentant une quote-part d'emprunt donnant droit
à
versement d'intérêts annuels sous forme de coupon)
Sur les
places boursières sont également
négociés
les titres ou obligations d'Etat (Emprunt
réalisés par le
Trésor)
L'investisseur
dispose par
conséquent de nombreux supports d'investissement ou de
placement
à sa disposition. Ils vont du plus sûr pour son
argent
(obligation à taux garanti, sous réserve que
l'émetteur soit solvable et fiable à terme), au
relativement plus
risqué (marché des actions qui constitue un pari
ou une
anticipation sur la réussite de la stratégie mise
en
place par les entreprises). En effet, le cours
des
actions peut fluctuer, non seulement en fonction de la
conjoncture
et des anticipations des acteurs de marché, mais encore des
performances individuelles des entreprises cotées (politique
de
recherche et innovation, qualité et adaptation des produits,
dynamisme commercial...) D'où d'aiIleurs l'existence d'un
marché au comptant et... à terme.
Au
cours des deux
dernières décennies et, en particulier de la
première décade de ce vingt et unième
siècle, les mécanismes boursiers se sont
"emballés". En effet, suite à une
informatisation sans précédent des processus, la
grande
majorité des
transactions est constiutué d'ordres lancés par
des
programmes
qui, au millième de seconde. Les ordres obéissent
à des
paramètres entrés préalablement par
des analystes(mix de références à des
séries statistitques constatées et des
d'hypothèses de comportement et d'interaction entre les
différents compartiments du marché.) Les
cours des
actions se trouvent aussi
interconnectés, du moins par secteurs d'activité.
Beaucoup d'investisseurs de base se trouvent ainsi
décontenancés par un mode de fonctionnement qui
génère des fluctuations difficilement
contrôlables,
y-compris par les spécialistes eux-mêmes. Pour
leur part,
les investisseurs doivent y ajouter un
éélément ultime : l'aspect fiscal dont
les effets
peuvent être déterminants dans le choix
comparé des
investissements !
Quelle
est la parade aux aléas boursiers ?
L'investisseur prudent préfèrera acheter des
titres de
SICAV (Société d'Investissement à
Capital
Variable) ou de FCP (Fonds Communs de Placement) qui
réaliseront
un mix d'obligations et d'actions, ce qui, par voie de
conséquence, limitera les risques comparativement
à un
investissement dans une seule valeur qui, dans le moins favorable des
cas, pourrait se trouver fortement
dépréciée
(Application du principe : " Ne pas mettre tous ses oeufs dans le
même panier ! " Le résultat dépend
cependant de la
pertience des choix effectués par le gestionnaire de fonds.
Il y a donc deux stratégie d'investissement :
l'investissement
sur (ou relativement sécurisé) et
l'investissement dit
à risque qui, s'il est favorable, permet d'obtenir un
meilleur
rapport. Tout ce joue alors sur une question d'anticipation. C'est
également le cas pour les transactions qui portent sur l'or,
considérée à l'inverse comme une
valeur refuge. RRS. |
Cours
de Bourse en ligne, Bourse en direct, analyse financière,
conjoncture
Point
de conjoncture - Janvier 2013
En ce début d'année 2013, la situation semble plus
favorable à la Bourse, non pas pour des raisons
conjoncturelles françaises ou européennes, mais bien
davantage sur la base de la prise en compte du contexte mondial.
Celui-ci demeure sous l'influence positive des pays qui rattrapent
très rapidement leur retard de développement, en
particulier sous l'influence les aspirations et de la soif de
consommation de leurs populations.
Concernant le CAC 40, rappelons que les grandes entreprises qui
composent l'indice phare parisien tirent essentiellement leur
épingle du jeu grâce à leurs
implantations internationales.
Les économies aujourd'hui les plus porteuses demeurent les
économies qualifiées auparavant d'émergentes
et qui ont désormais pris leurs marques au niveau mondial : la
Chine, les dragons asiatiques (dont la Corée, l'Indonésie
et les pays qui s'affranchissent progressivement de leurs anciens
régimes autoritaires), l'Afrique du Sud, la Russie, le
Brésil (bien que ce dernier soit en ralentissement par rapport
à l'ère Lula).
La poussée démographique demeure l'un des vecteurs de la
croissance mondiale. Dans le même temps, elle crée
des tensions sur les marchés des matières
premières et des énergies fossiles.
Dans
les pays européens, de même qu'aux Etats-Unis, la
tendance
est à la stagnation, voire même à la
récession. Raisons principales : d'une part, les montants
abyssaux des déficits publics et la
nécessité de
les combler par des prélèvements et taxes
supplémentaires (qui pénaliseront la consommation
et
l'investissement) et, d'autre part, les risques de
défaillance
de Etats (risque très sérieux de
défaillance de la
Grèce actuellement sous perfusion).
Au cours des années et mois passés, la croissance
occidentale - au demeurant assez
faible -, a été maintenue, pour ne pas dire
dopée,
au prix d'injections monétaires conséquentes, que
ce soit
en Europe ou aux Etats Unis (politique du quantitative easing ou
facilités monétaires accordées par la FED, la
Banque Fédérale Américaine).
A court terme, le maintien de
l'activité repose sur une croissance encore forte en Asie,
en Russie et dans les pays disposant de ressources
énergétiques. Comme nous l'avons vu, ces pays sont
les terrains de chasse privilégiés de nos grandes
entreprises. Pour autant, la croissance induite ne se transmet pas
aussi facilement, par
capillarité, aux PME qui, essentiellement, agissent au
plan
régional.
Certaines menaces se sont - momentanément -
éloignées, dont la pression sur l'Euro et sur les
banques. Cependant, dans la vieille Europe, rien n'est encore
réglé pour les pays du Sud, dont la France fait aussi
partie, atteints par un déficit de compétitivité.
Au niveau mondial, le contexte de croissance est réel. A court
terme, des risques demeurent. Ils sont liés, non seulement aux
évolutions politiques (de type printemps arabe), mais aussi aux
aléas climatiques pouvant influer fortement sur les
récoltes de céréales.
Compte tenu de la baisse
de rendement des obligations, conjuguée à leur forte
taxation, en particulier en France depuis l'avènement d'un
nouveau gouvernement, la Bourse redevient un meilleur
support
d'investissement qui est à considérer sur le long terme,
sous réserve de précautions qui tiennent à la
bonne
connaissance
des secteurs d'activités et de leurs perspectives
d'évolution (tout en divesifiant son portefeuille,
l'investisseur a intérêt à se spécialiser
sur le suivi d'un ou
plusieurs secteurs d'activité). Une réactivité
à
court terme
est cependant nécessaire (une règle d'or : avoir le sens
de l'anticipation)
Rappel important - Les investisseurs et gérants de
portefeuille
n'établissent pas tant leurs prévisions d'achat ou de
vente de titres sur les résultats passés des
sociétés
cotées, mais bien davantage sur les perspectives d'anticipations de résultats.
La
Bourse d'Hier et d'aujourd'hui
Une
Bourse est historiquement un lieu d'échange, à
l'origine
de marchandises. Parmi les Bourses les plus renommées, se
trouve
la Bourse américaine, plus communément
appelée
Wallstreet, qui a vu le jour en 1792. Elle fut
créée par
des courtiers qui se sont entendus sur le taux de commissions
à
pratiquer sur les transactions de titres. Les Bourses de Paris et de
Londres ont officiellement été
créées en
1801.
Les
transactions ont d'abord eu lieu " à la criée ",
contrastant avec l'atmosphère
aseptisée des
salles de marché informatisée d'aujourd'hui
où,
néanmoins, la tension est palpable en temps de crise.
Les
Bourses d'aujourd'hui : Evolutions récentes
Les Bourses mondiales ont
été gagnées par un
phénomène de spéculation qui
déroute les
acteurs historiques. Les banques, à l'imagination active,
ont
lancés de nouveaux produits (dont certains ce sont
avérés néfastes : se
référer aux
subprimes américains) et d'autres
réservés
à des spécialistes : basés sur les
variations de
cours des indices boursiers, des monnaies (Forex), voire même
sur
la défaillance éventuelle d'entreprises ou Etats
à
honorer leurs emprunts (CDS ou Crédit Default Swap) Ils
agissent
en fait comme des contrats d'assurance, moyennant versement de primes.
Pour le système financier dans son ensemble, le risque est
que
ces contrats ne sont pas couverts (ils font partie du hors bilan des
Etablissements qui les gèrent) Il y a donc lieu de
s'interroger
sur ce qui adviendrait.il en cas de défaillance en
chaîne.
Cela
étant, pour ce qu'ils ont de fondamentaux, les mécanismes boursiers et la raison
d'être des Bourses
ne sont pas à remettre en cause (voir les justifications
économiques invoquées supra) Ils doivent
cependant
être contrôlés et
régulés, dans
l'intérêt même des épargnants
investisseurs
et des acteurs eux-mêmes.
Sur le long
terme, la Bourse a encore de beaux jours devant elle, la seule
précaution à prendre - mais de taille -
étant de
ne pas s'y trouvé fortement investi en période de
turbulences.
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